SGI - NAM MYOHO RENGE KYO - SGI

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La notion de karma Karma est un mot sanskrit qui signifie à l'origine action, et le bouddhisme lui donne le sens d'actions mentales, verbales et physiques, c'est-à-dire les pensées, les paroles et les actions. Chaque action, bonne ou mauvaise, a une influence latente sur la vie d'un être. Le karma, lorsqu'il est activé par un stimulus externe, produit un effet correspondant. Selon ce concept, les actions passées donnent forme à la réalité présente, et les actions présentes déterminent le futur. Le loi de la causalité karmique agit sur les trois phases de l'existence: passée, présente et future. Selon le bouddhisme de Nichiren Daishonin (et du Mahayana), le karma est emmagasiné dans la conscience Alaya (grenier - voir "Neuf consciences") qui constitue cet aspect de l'existence individuelle qui passe par le cycle de la naissance et de la mort. Le pratique du bouddhsime (ici, la récitation du mantra Nam Myoho Renge Kyo) a pour but l'atteinte de la boddhéité par la transformation du karma dit "négatif". L'idée de karma est antérieure au bouddhisme, mais le bouddhisme développa considérablement cette notion.

Daisaku Ikeda is the president of the Soka Gakkai International (SGI), a Buddhist association of more than 12 million members in 190 countries and territories, and founder of several educational, cultural and research institutions. He is a prolific writer, poet and peace activist, recognized as one of the leading interpreters of Buddhism, bringing its timeless wisdom to bear on the many contemporary issues confronting humanity.

Il n'est donc pas difficile de devenir bouddha. Un oeuf d'oiseau ne contient que de liquide, et pourtant, de soi-même, cela se développe en un bec, deux yeux, et tout ce qui permet à un oiseau, finalement, de s'envoler dans le ciel. Nous aussi, dans notre ignorance et notre bassesse, sommes comparable à l'oeuf, mais lorsque nous sommes nourris par la récitation de Nam Myoho Renge Kyo, nous développons le bec des trente-deux traits et les plumes des quatre-vingt caractéristiques* du Bouddha qui nous permettent de nous élancer librement dans le ciel de la réalité ultime. « Lettre à Niike » [LTND-1-291]

Le Gohonzon est la concrétisation de la loi de Nam Myoho Renge Kyo sous la forme d’un objet de vénération. Honzon signifie “objet fondamental de respect”, et go a pour sens “digne d’honneur”. Le Gohonzon que chaque membre reçoit a la forme d’un parchemin manuscrit, en caractères chinois, japonais et sanscrits, écrits à l’encre noire sur fond blanc. Ensemble, ces caractères représentent la vie dans sa plus haute expression : la boddhéité. Au milieu, et sur toute la hauteur du parchemin, est inscrit, en caractères plus grands et plus gras que l’ensemble : “Nam Myoho Renge Kyo, Nichiren”. C’est la synthèse en une page du Sûtra du Lotus qui dépeint " le bouddha du 16e chapitre, “Durée de la vie” ", et définit la Loi régissant tous les phénomènes. Nichiren Daishonin enseigna que celui qui croit en le Gohonzon, récite Nam Myoho Renge Kyo et enseigne aux autres à faire de même, atteindra de façon certaine la boddhéité dans cette vie, comme lui-même. Tous les Gohonzon sont retranscrits selon le Dai-Gohonzon, inscrit par Nichiren Daishonin le 12 octobre 1279. Le Gohonzon que les membres de la SGI enchassent dans leur installation bouddhique, sur leur autel, chez eux, est une copie du Gohonzon transcrit par le vingt-sixième grand patriarche, Nichikan Shonin (1665-1726). On peut réciter Nam Myho Renge Kyo et en expérimenter les bienfaits sans être en face d’un Gohonzon. Le Gohonzon est un support qui permet de se concentrer sur sa pratique, il n’a pas d’autre pouvoir ou fonction que de révéler notre boddhéité. C’est la force de notre foi qui active le pouvoir de nous faire agir avec sagesse et bienveillance.

Littéralement, gongyo signifie “pratique assidue”. Dans le bouddhisme de Nichiren Daishonin, gongyo consiste en la lecture d’une partie des chapitres 2, “Des moyens” (Hoben), et 16, “Durée de la vie” (Juryô), du Sûtra du Lotus, et en la récitation du daimoku, c’est-à-dire de Nam Myoho Renge Kyo, si possible devant le Gohonzon. La lecture des sûtras est la pratique préparatoire qui contribue à la manifestation des bienfaits de la pratique essentielle (la récitation de Nam Myoho Renge Kyo). Gongyo s’effectue chaque matin et chaque soir. Telle est la pratique la plus fondamentale du bouddhisme de Nichiren Daishonin. Foi, pratique, étude Ce sont les trois aspects fondamentaux de la pratique du bouddhisme de Nichiren Daishonin. - La foi signifie croire en le Gohonzon, en tant que représentation de la Loi de la vie et des trésors de la vie humaine. - La pratique représente la récitation de Nam Myoho Renge Kyo et la lecture du sûtra deux fois par jour, ainsi que le partage de l’enseignement du bouddhisme avec les autres. - L’étude consiste en l’étude et la compréhension des enseignements bouddhiques pour les appliquer dans la vie quotidienne. Parmi ces trois aspects, la foi est le plus important pour développer notre boddhéité. La foi engendre la pratique et l’étude, tandis que la pratique et l’étude amènent à approfondir la foi.

Et, comme il est dit dans le Sûtra [du Lotus], il faut propager la Loi au mieux de ses capacités. Si vous cédez au découragement parce que les souffrances que vous endurez en cette vie-ci vous semblent déjà très grandes, vous devriez réciter Nam Myoho Renge Kyo en pensant que les souffrances d'une vie future pourraient être plus grandes encore. Et quand vous êtes heureux, vous devriez penser que la joie en cette vie-ci n'est qu'un instant dans un rêve, alors que la joie ressentie sur la terre pure du Pic du Vautour est le véritable bonheur. Avec cette pensée à l'esprit, récitez Nam Myoho Renge Kyo. « Les quatorze oppositions »

Les grand événements ne sont pas annoncés par de petits présages. Un grand mal est toujours suivi d'un grand bien.

Un mot, une phrase de l'enseignement correct mettent infailliblement sur la voie de l'illumination, s'ils correspondent au temps et à la capacité des gens. Alors que, même en étudiant mille sûtras et dix mille doctrines, il est impossible d'atteindre la bouddhéité si ces enseignements ne conviennent ni au temps ni aux capacités des gens. --- La lettre de Sado ---

Souffrez s’il faut souffrir, et goûtez pleinement la joie lorsqu’elle se présente. Considérez la souffrance et la joie comme des réalités inséparables de la vie et continuez à réciter NAM MYOHO RENGE KYO, quoi qu’il arrive. <<Le bonheur en ce monde>>

Ovunque andiamo non possiamo sfuggire alle sofferenze, che sono parte della vita. Se non possiamo evitare il dolore, allora la sola scelta che abbiamo è di superarlo. Poiché non abbiamo altra possibilità che questa, dovremmo vivere con gioia e forza percorrendo tale cammino. Continuiamo a lottare e a recitare daimoku fino all’ultimo istante. --- Daisaku Ikeda ---

Parce que je suis le Pratiquant du Sûtra di Lotus, Bonten et Taishaku marchent respectivement à ma droite et à ma gauche, et le solei et la lune éclairent ma route devant et derrière moi.

REALISER SES REVES -- Extrait d’un discours prononcé par le président IKEDA le 25 juin 1991 en Angleterre pour commémorer le trentième anniversaire de Kosen-rufu au Royaume-Uni. -- Le but du bouddhisme de Nichiren Daishonin n’est pas de vous contraindre et de vous limiter, mais de vous permettre d’avancer librement et majestueusement vers la réalisation de vos rêves. La foi et la pratique sont les deux moteurs qui vous permettent de progresser continuellement en menant une vie d’intense satisfaction. Tout en surmontant les problèmes immédiats de notre vie quotidienne, et en réalisant nos objectif un par un, nous devons toujours continuer à avancer vers le but de la victoire éternelle : l’atteinte de la boddhiéité dans cette vie. C’est, je crois, la manière de vivre la plus significative et le plus riche. Celui qui ne court pas ne transpirera pas, et ne se fatiguera pas non plus. Cependant, il n’atteindra jamais la ligne d’arrivée. Seul un coureur dynamique, qui continue sans s’arrêter, pourra franchir la ligne, qui représente pour nous l’atteinte de la gloire éternelle. La vie sublime de ceux qui persévèrent sur le chemin de la pratique et de la foi entraîne dans la société des vagues de compréhension de la valeur du bouddhisme.

Faire gongyo et daimoku En général, la pratique biquotidienne s’effectue chez soi. Elle comprend la répétition ou récitation de la phrase Nam Myoho Renge Kyo, ainsi que la lecture des deux plus importants chapitres de l’enseignement ultime du bouddhisme, le Sûtra du Lotus. C’est ce que l’on appelle faire “gongyo”, c’est-à-dire “la pratique assidue”. De manière succincte, Nam Myoho Renge Kyo signifie : “consacrer sa vie à la Loi merveilleuse” ou “mettre notre vie en harmonie avec le rythme de la vie de l’univers”. Au début, la plupart des gens trouvent la lecture de gongyo difficile. Il est vrai qu’une lecture correcte nécessite des efforts. Il ne faut pas s’attendre à ce que ce soit facile car l’une des fonctions de gongyo est de purifier notre vie de nos tendances négatives innées ou acquises et également de nous concentrer en vue de la pratique essentielle qu’est daimoku, c’est-à-dire la récitation de Nam Myoho Renge Kyo. Pratiquer matin et soir est assimilable à un acte de foi. Bien sûr, lorsqu’on commence à pratiquer, il est difficile d’avoir véritablement la foi. Disons plutôt que le lien avec la pratique relève davantage de la confiance, et souvent de la confiance en la personne qui nous a fait connaître le bouddhisme. En nous appuyant sur cette confiance, nous pratiquons et nous sommes encouragés à tester les effets de notre pratique dans notre propre vie. Ainsi notre foi se développe à partir de notre propre expérience. Aussi n’est-il pas nécessaire d’avoir foi en Nam Myoho Renge Kyo pour commencer. Parfois, certains déclarent qu’ils croient vraiment dans la pratique mais ne ressentent pas le besoin de pratiquer. En ce cas, leur foi n’est que pure théorie car pratiquer est l’expression même de la foi. L’étude Le bouddhisme ne préconise pas une “foi aveugle” : l’étude des enseignements bouddhiques est un facteur important dans l’approfondissement de notre foi et notre compréhension. Les principes de l’enseignement de Nichiren Daishonin et leur application dans notre vie quotidienne sont contenus dans les lettres écrites pas Nichiren Daishonin à ses disciples. L’ensemble de ces lettres et traités est rassemblé en une œuvre appelée le Gosho. L’action Le bouddhisme reconnaît que, puisque toute vie est reliée à celle des autres, il est impossible d’être véritablement heureux en restant isolé. Aussi encourage-t-on les membres à pratiquer tant pour eux-mêmes que pour les autres, et à partager leurs expériences et le développement de leur vie par la mise en pratique de l’enseignement de Nichiren Daishonin. Les réunions de discussion qui se déroulent au domicile de pratiquants, dans le monde entier, concrétisent cet esprit. Elles sont semblables à des forums. Chacun, quels que soient son passé, son milieu social, etc., peut y participer, échanger librement ses points de vue, transmettre ses expériences et tous peuvent s’encourager mutuellement. Il n’est pas nécessaire de commencer à pratiquer pour participer à une réunion de discussion. Même pour ceux qui ne ressentent qu’un intérêt limité pour le bouddhisme, les réunions de discussion sont un lieu et un moment privilégiés pour découvrir l’enseignement de Nichiren Daishonin tel qu’il s’exprime, de manière très concrète, dans la vie quotidienne de ceux qui le mettent en pratique. Sur le plan individuel, notre but est d’accomplir une complète révolution en nous-même, ce que nous appelons communément la “révolution humaine”. Le bouddhisme n’est pas une morale ; il engendre plutôt un processus d’évolution, de changements progressifs, durant lesquels nous découvrons et nous nous efforçons de modifier les différents aspects de notre vie qui sont facteurs de souffrances pour nous et/ou pour les autres. Par exemple, la révolution humaine d’une personne pourra se traduire par la transformation de sa tendance à la paresse, alors que pour une autre ce sera d’apprendre à se décrisper et à se réjouir. La révolution humaine de telle personne sera de transformer sa tendance à vouloir dominer les autres ou inversement, telle autre s’efforcera de changer ce qui l’amène à manquer de confiance en elle-même et à se laisser dominer par les autres.

Le bouddhisme de Nichiren Daishonin ne cherche ni à nier les désirs ni à y renoncer, il reconnaît que les désirs sont une puissante force de motivation dans notre vie. D’habitude, lorsqu’une personne commence à pratiquer, on l’encourage à prier pour ce qu’elle désire. Dans bien des cas, tout ce qui nous sépare de la réalisation de nos désirs est un certain manque d’harmonie : être au mauvais endroit au mauvais moment et ne pas dire ce qu’il faut lorsqu’il le faudrait. Toutefois, ceux qui débutent dans la pratique expérimentent souvent un résultat immédiat sous la forme de la réalisation d’un désir. C’est un effet naturel, consécutif au fait de mettre sa vie en harmonie avec le rythme de l’univers. Certaines personnes peuvent exprimer un doute face à cette première manifestation de la preuve de la pratique, la réduisant à une simple coïncidence. Mais en continuant, on s’aperçoit que cette première expérience est suivie de bien d’autres “coïncidences”. Et si on persévère dans la pratique, on découvre peu à peu, plus profondément, les implications de cette profonde philosophie dans sa propre vie. Nichiren Daishonin définit les bienfaits de la pratique comme étant la purification des six sens (la vue, l’ouïe, l’odorat, le goût, le toucher et l’esprit). Les bienfaits peuvent être répartis en deux catégories : apparents et inapparents. Bien sûr, c’est merveilleux d’obtenir des bienfaits apparents sous la forme d’une amélioration de nos conditions de vie, mais les bienfaits durables qui découlent de la pratique sont les bienfaits inapparents. Ces derniers traduisent des changements dans notre comportement, résultats de la purification de notre vie. À partir de cet épanouissement intérieur, nous développons la capacité d’influencer positivement notre environnement, induisant ainsi un changement de notre destinée ou karma. Il n’y a aucun but pour lequel nous ne puissions pratiquer. En utilisant nos désirs comme motivation, notre vie se purifie, de sorte que nous générons ce qui est vraiment nécessaire à notre bonheur. Inexorablement, ce bonheur individuel se communique aux autres, favorisant ainsi le bonheur autour de nous. C’est ce que nous appelons la “révolution humaine”.

Le bouddhisme de Nichiren Daishonin ne cherche ni à nier les désirs ni à y renoncer, il reconnaît que les désirs sont une puissante force de motivation dans notre vie. D’habitude, lorsqu’une personne commence à pratiquer, on l’encourage à prier pour ce qu’elle désire. Dans bien des cas, tout ce qui nous sépare de la réalisation de nos désirs est un certain manque d’harmonie : être au mauvais endroit au mauvais moment et ne pas dire ce qu’il faut lorsqu’il le faudrait. Toutefois, ceux qui débutent dans la pratique expérimentent souvent un résultat immédiat sous la forme de la réalisation d’un désir. C’est un effet naturel, consécutif au fait de mettre sa vie en harmonie avec le rythme de l’univers. Certaines personnes peuvent exprimer un doute face à cette première manifestation de la preuve de la pratique, la réduisant à une simple coïncidence. Mais en continuant, on s’aperçoit que cette première expérience est suivie de bien d’autres “coïncidences”. Et si on persévère dans la pratique, on découvre peu à peu, plus profondément, les implications de cette profonde philosophie dans sa propre vie. Nichiren Daishonin définit les bienfaits de la pratique comme étant la purification des six sens (la vue, l’ouïe, l’odorat, le goût, le toucher et l’esprit). Les bienfaits peuvent être répartis en deux catégories : apparents et inapparents. Bien sûr, c’est merveilleux d’obtenir des bienfaits apparents sous la forme d’une amélioration de nos conditions de vie, mais les bienfaits durables qui découlent de la pratique sont les bienfaits inapparents. Ces derniers traduisent des changements dans notre comportement, résultats de la purification de notre vie. À partir de cet épanouissement intérieur, nous développons la capacité d’influencer positivement notre environnement, induisant ainsi un changement de notre destinée ou karma. Il n’y a aucun but pour lequel nous ne puissions pratiquer. En utilisant nos désirs comme motivation, notre vie se purifie, de sorte que nous générons ce qui est vraiment nécessaire à notre bonheur. Inexorablement, ce bonheur individuel se communique aux autres, favorisant ainsi le bonheur autour de nous. C’est ce que nous appelons la “révolution humaine”.

Annie: salut Franz super ton site merci pour tes infos Santana est l'idole de mon fils aîné qui sais.... à bientôt chez Ewa ///// Akissi: bravo à tous Comment participer au Blog avec des textes d'encouragements de Sensei ///// Alioune: Super boulot, merci bcp, il faut des personnes de valeurs comme vous qui font avancer kosen-Rufu!!! C'est une grande source d'encouragement. ///// Albert: Félicitations pour cette initiative formidable, je le consulte au travail tous les jours et c'est à chaque fois une source de joie sans limite. Merci beaucoup Bravo e grazie mille /////

Baggio converte Frey al 'suo' buddismo Dal campo alla fede, l'ex campione continua a stupire. L'ex portiere: 'Gli devo tutto, ero infortunato e ora mi sento più forte' Milano, 19 agosto 2006 - IN FONDO LUI è sempre stato altrove. Oltre la linea del comune sentire e vedere, un passo più avanti del luogo dove tutti vorrebbero sempre incontrarlo. Così non c’è da sorprendersi se, due anni dopo l’addio al calcio, ritroviamo Robi Baggio di nuovo a tu per tu con un portiere ma in un altro mondo, non quello del pallone. Il mondo dove molto tempo fa, racconta lui, il sentiero della sua vita si era improvvisamente illuminato e dove oggi aiuta un amico a seguire lo stesso percorso che porta al centro di se stessi: Sebastian Frey, reduce da un infortunio che lo aveva fatto piombare nel buio più profondo. «Mi ha avvicinato al buddismo e gli devo tutto, perché oggi mi sento molto più sereno e ancora più forte di prima» dice il portiere della Fiorentina dopo aver tagliato il traguardo del sentiero. E insieme alle sue nuove certezze torna alla ribalta, prepotente, la vecchia nostalgia di un campione che non finiremo mai di rimpiangere, anzi. Forse perché lui è sempre stato oltre, o forse perché questo calcio è sempre più maleodorante, ma la voglia di Robi Baggio con il passare del tempo aumenta, invece di appassire insieme alla memoria. Voglia di dribbling morbidi come la seta, colpi di tacco come scosse elettriche, gol che accarezzano morbosamente la fantasia, il Codino che annunciava ventate di gioia e di allegria, voglia di quel sorriso pulito e accattivante, di quello sguardo altero ma mai irriverente, di quella corsa incontro alla vita e al pallone a perdifiato ma mai sguaiata. E anche voglia, perché no, del suo esempio di fede che ha contribuito a farlo diventare un personaggio di fama planetaria. UNA FEDE VISSUTA con dedizione totale, con pudore e dignità, talvolta anche con lo stesso spirito goliardico che anima le sue memorabili barzellette. «Andreina penserà che sono matto» raccontò parlando dell’allora fidanzata, preoccupata perché lo vedeva sparire tutte le sere. Robi si chiudeva in camera per pregare , due ore all’alba e due ore prima di andare a dormire. E anche nei ritiri, con la squadra di club e in Nazionale, molti pensavano che fosse matto. I più innocenti. Quelli che al massimo gli ridevano alle spalle. Quelli che coltivavano una fede malevola, invece, ne hanno pensate e dette di peggiori. MA LUI, OGNI GIORNO sempre più forte anche grazie agli infortuni, agli sgarbi, alle derisioni, non se n’è mai curato troppo. E così com’è ha conquistato i cuori di milioni di tifosi, di bambini, di padri e madri, di quelle nonne che il giorno in cui Firenze s’incendiò dopo la cessione del suo fiore più prezioso alla Juve aprivano il portone di casa per dare asilo ai rivoltosi inseguiti dalle forze dell’ordine. Così ha suscitato invidie e gelosie tra gli avversari e si è guadagnato tanti nemici fra i suoi allenatori, quelli che avrebbero dovuto aiutarlo a superare i momenti bui e che invece cercavano di tenerlo lontano dai riflettori per paura di finire soffocati dalla sua ombra. LO SGARBO più doloroso alla vigilia dei Mondiali 2002, quando Baggio sperava di poter coronare la sua esperienza di calciatore e uomo di fede partecipando alla spedizione in Giappone. Nella terra del suo maestro, il presidente della Soka Gakkai Daisaku Ikeda, davanti alla sterminata folla che qualche mese prima lo aveva ascoltato raccontare, con la voce rotta dalla commozione, il suo cammino verso la pace interiore. Ma sarebbe stata una stella troppo ingombrante, per Trapattoni e la Nazionale, così lo lasciarono a casa. SEMBRA IERI. Come la sera del saluto a quell’Italia ingrata: Genova, 28 aprile 2004, la bomboniera di Marassi scossa da un’ovazione senza fine. Come l’addio al calcio: Milano, 16 maggio 2004, l’ultima di campionato con il suo Brescia contro il Milan e le lacrime dei tifosi che lo vedono in campo per l’ultima volta. Come quel filo di speranza che si era riacceso a Tokio, qualche mese dopo: «Un giorno, chissà, potrei rientrare nel calcio, magari come allenatore». Ma intanto la vita è un’altra cosa. Il terzo figlio, il bosco con riserva di caccia acquistato a Caldogno, i mesi passati nella tenuta in Argentina, l’impegno sempre più attivo con il gruppo Soka Gakkai. Sembra ieri perché in realtà Robi Baggio è sempre qui, più presente che mai anche se nel suo mondo, oltre la linea del comune sentire e vedere. E a chi non si rassegna, non resta che invocare Buddha: perché prima o poi ce lo faccia ritrovare anche nel mondo del pallone.

Olá Companheiros Consultei o blog do Grupo gajokai da bélgica, que nos foi enviada uma mensagem pelo Coordenador Geral, e gostaria de citar que na primeira página tem a seguinte chamada: Le Groupe Gajokai Belgium souhaite la bienvenue sur le Blog aux Gajokai de Curitiba Bresil O Grupo Gajokai Bélgica deseja boas-vindas sobre o Blog ao Gajokai de Curitiba - Brasil Segue o site: http://gajokai- belgium.skynetbl ogs.be/ Abraço Rogério

Una gioia che nessuno può togliermi (Stefania - LUCCA ) ------------------------------------- Cadendo e rialzandomi mi sono liberata dall'attaccamento e dal bisogno di avere accanto mio marito, imparando ad amarlo come una parte della vita. Ho incontrato il Buddismo nel 1986: da cinque anni ero ammalata di depressione, con attacchi d'ansia che mi paralizzavano, costringendomi a letto. L'energia rimasta si perdeva nella disperazione e nella rabbia verso me stessa e chi mi stava intorno. La "Stefania rivoluzionaria" che aveva lottato per cambiare il mondo era sopraffatta da qualcosa di profondo che non sapeva combattere. Nonostante i farmaci, non c'erano miglioramenti, così mio marito, dopo tensioni e litigi, nel dicembre del 1985 se ne andò. Le mie condizioni peggiorarono. Fu allora che Claudine, mia migliore amica e medico, tornò a parlarmi del Buddismo: iniziai a fare Daimoku sostenuta da lei e Anna, due delle quattro o cinque persone praticanti allora in Versilia. Grazie al Daimoku recuperai l'energia per alzarmi e fare quei gesti quotidiani come lavarsi e vestirsi, per me stressanti e faticosi, complicati da fobie e riti estenuanti. Avevo anche problemi economici, l'assegno del mio ex marito e la pensione minima di mia madre erano le uniche entrate. Quando mia nonna malata si stabilì a casa nostra, mia madre, dovendosi occupare di entrambe, esasperata, disse di voler scappare come mio marito. La sua sfiducia nella mia guarigione mi faceva sentire sola, desideravo che apparisse qualcuno nella mia vita. Ricominciai a studiare per un concorso in Comune, ma le mie condizioni psicofisiche mi impedirono di partecipare all'esame, così ricaddi nella depressione. Mi incoraggiarono a partecipare comunque al corso estivo a Roma, dove arrivai sull'orlo del collasso, spaventando la mia compagna di stanza, ma dopo il Gongyo di apertura mi ripresi e fui in grado di partecipare, grazie anche alla protezione costante di tutti i responsabili, di Claudine e della mia compagna di stanza. Il corso fu fondamentale per la mia decisione di praticare e al ritorno si concretizzò il desiderio che apparisse un "principe azzurro" nella mia vita. Trovai ad aspettarmi Bruno, un ragazzo di Roma che praticava il Buddismo da poco ed era a Viareggio per il servizio civile. Aveva quattordici anni meno di me: io trentasei, lui ventitré. Iniziammo a frequentarci. Bruno studiava medicina e, con l'entusiasmo della sua età, era pieno di fiducia nelle mie possibilità di superare la depressione. La benefica medicina di Nam-myoho-renge-kyo gradualmente sostituiva i farmaci e intanto nasceva un forte legame affettivo tra noi. Finito il servizio civile, Bruno decise di restare per vivere con me. Iniziammo un cammino insieme: lui studiava per laurearsi, io compresi l'importanza di fare l'assistente sociale, professione che dieci anni prima avevo rifiutato per motivi ideologici. Feci domanda per alcuni concorsi, pur sapendo che avevo superato il limite di età. Nel novembre del 1989 ricevetti il Gohonzon insieme a Bruno; ricordo il discorso di Mitsuhiro Kaneda: «Fra quindici o venti anni si vedrà la differenza tra chi lotta e chi non lotta». Incoraggiata dalle sue parole feci domanda per brevi incarichi, così nel gennaio del '90 fui chiamata per quattro mesi in un distretto di Livorno, nella città dove mi ero sforzata di partecipare a tutte le riunioni, affrontando la mancanza di soldi per il viaggio e le crisi depressive, che si presentavano via via sempre più leggere. Potei così misurami con le mie capacità, guadagnando la fiducia delle colleghe del distretto. Compresi che il lavoro nel servizio sociale era il mio lavoro. Intensificai lo studio per prepararmi ai concorsi e, "misticamente", uscì una legge che innalzò il limite di età. Piena di gratitudine e speranza, feci domanda per due concorsi: nella USL di Viareggio e presso il Ministero della Giustizia. Mi preparai per il concorso USL, ma lo stress mi impedì di sviluppare bene il tema. La sera piansi disperatamente, avevo perso e mi sentivo in colpa, reagii andando alla recitazione del gruppo, decisi di studiare per l'altro concorso. La mattina dell'esame durante Gongyo, nacque la determinazione di vincere. Al termine della prova orale, il mio nome era tra i vincitori, così in ottobre iniziai a lavorare a Genova. Feci subito domanda per il trasferimento a Pisa. Da poco ero responsabile di gruppo, la lontananza del posto di lavoro e la stanchezza mi ostacolarono, ma recitando per vincere questi limiti, riuscii a impegnarmi nell'attività, grazie anche a Claudio, mio corresponsabile. Del trasferimento a Pisa non avevo notizie e mi lamentavo pensando che avrei potuto vincere il posto a Viareggio. Solo quando cambiai atteggiamento davanti al Gohonzon, tirando fuori la gratitudine e rinnovando la motivazione e l'impegno nella professione, il beneficio non tardò ad arrivare. Nel giugno del 1992 il presidente Ikeda venne in Italia: desideravo non perdere questa occasione e mi offrii per l'attività in cucina al Centro culturale di Firenze. Il 29 giugno ebbi la gioia di fare attività e incontrare il presidente Ikeda. Ero piena di commozione e gratitudine: grazie a lui il Buddismo era arrivato in Europa e nel nostro paese. Nell'incontrarlo pensai: «Sensei, voglio regalarti le mie vittorie, la realizzazione dei miei obiettivi!». All'età di quarantadue anni avevo superato la depressione, la mia vita era ricominciata, avevo il mio lavoro che mi permetteva di mantenermi e aiutare anche mia madre. Il 4 luglio mi sono sposata con Bruno e il 3 luglio, puntuale, era arrivato il "regalo" del trasferimento a Pisa. Potevo dedicarmi di più all'attività buddista e così accettai la responsabilità di settore. Ora che l'unione con Bruno era stabile desideravo un figlio e una casa nostra. Trovammo una buona occasione e sua madre ci prestò i soldi per il compromesso. Con lei era nato un forte legame, grazie al Daimoku recitato per un intero anno per trasformare la sua opposizione alla nostra unione. Bruno si era laureato a pieni voti e, nonostante non vi fossero posti, entrò nella scuola di specializzazione di neuropsichiatria infantile alla fine del milione di Daimoku recitato per questo scopo. La sua borsa di studio e il mio stipendio ci permisero di essere sereni dopo anni di problemi economici. Nel 1996 partecipammo al corso estivo, dove potei approfondire il mio senso di missione e l'importanza di aprire la vita agli altri. Fra me e Bruno, però, alla fine dell'anno non c'era armonia. Per scherzo gli chiesi se avesse un'altra, rispose di sì e mi lanciò una sfida: «Vedi se riesci a trattenermi con la pratica buddista, perché voglio andare via!». Avrei voluto morire, ma tornai davanti al Gohonzon e più recitavo Daimoku, più la situazione peggiorava. Bruno non parlava, sembrava che mi odiasse, mi fece l'elenco di tutto quello che non andava in me e a luglio se ne andò. Ero distrutta dal dolore, ancora una volta mi trovavo di fronte alla sofferenza di perdere la persona che amavo, come mi era sempre successo fin da ragazza: prima con la morte di mio padre, poi con il primo ragazzo, la prima separazione e ora la seconda. Il mio "demone più grande" era la voglia di lasciarmi andare, di ammalarmi per richiamare mio marito, per non perderlo. Con questo demone ho ingaggiato una lotta corpo a corpo. Decisi di chiedere un consiglio nella fede e fui incoraggiata a dedicarmi alla pratica per gli altri. Iniziai l'attività nello staff Corallo, che si occupa dell'accoglienza. Durante questa attività provavo una gioia tale da dimenticare il mio dolore. Poi a casa la battaglia ricominciava. Recitando Daimoku compresi che nonostante il grande cambiamento e i risultati concreti dei primi dieci anni di pratica il mio atteggiamento era ancora quello di cercare la felicità fuori di me, nel mio caso nell'uomo che amavo. Se non sei felice dentro, non puoi far felice un'altra persona, per questo il mio matrimonio era finito. Sviluppando il coraggio di guardarmi dentro, vidi chiaramente il mio egoismo che mi aveva impedito di sentire le esigenze di mio marito, le sue aspettative. Acquistai la consapevolezza della parte di me che anteponeva ai propri desideri il senso del dovere e la paura di vivere. In questi anni ho raccolto tutta la mia determinazione e il coraggio per tirar fuori l'amore per me e la gioia di vivere. Cadendo e rialzandomi mi sono liberata dall'attaccamento e dal bisogno di avere accanto mio marito, imparando ad amarlo come una parte della vita. Sono contenta che esista e che stia bene, l'ho lasciato andare dentro di me. La mia trasformazione è arrivata al suo cuore e il suo atteggiamento è cambiato permettendomi di recuperare il valore del nostro rapporto. Provo gratitudine per tutto quello che ha fatto per me e per avermi costretta a mettermi in discussione. La trasformazione di questo attaccamento si riflette anche su tutte le mie relazioni con gli altri. Ora che sono diventata più forte, che ho imparato a farcela da sola, il mio rapporto con gli altri è libero, senza conflitti, né prigioni, né colpe o sensi di colpa, con meno illusioni e delusioni e il mio sguardo è orientato a scoprire il lato positivo dei miei familiari, degli amici, della gente. Sento il sapore della vita, sto attenta a rispettarla di più partendo dal rispetto per me stessa. Così è diventato naturale parlare agli altri del Buddismo. Questo grande scopo dà senso alla mia vita e mi fa vedere tutte le cose in una luce diversa. Questa è la gioia che nessuno può togliermi, ogni giorno posso ritrovarla. Quello che è accaduto, lo percepisco come l'occasione per continuare la mia rivoluzione interiore che rischiava di fermarsi perché avevo raggiunto un traguardo dando per scontato quello che avevo. Quest'ultima parte della mia attuale esistenza voglio che sia la più bella. Come scrive il presidente Ikeda in un saggio intitolato L'anima dei colori: «Anche la vita può essere considerata come un processo per colorare la trama e intessere il broccato della nostra missione individuale. La pratica buddista consiste nel tingere il nostro spirito. Tingendo il nostro intero essere con l'intenso colore della Buddità. [...] Vivete con passione. Vivete come se ardeste, ed emanate la vostra luce più bella fino alla fine. Solo così potrete creare ricordi immutabili della vostra esistenza in questo mondo. Vivete al massimo, siete nati con una missione, quindi vivete con fierezza senza rimpianti né rimorsi. La nostra missione è quella di sommergere il mondo con una coltre di variopinti fiori di felicità!» (NR, 322, 7). Così voglio vivere!

L' Esprit Gajokai - Les Membres de Gajokai pour la protection du Centre SGI. - Les Membres de Gajokai protègent le Gohonzon et maintiennent la dignité et la sécurité de l'endroit ou il est enchâssé. - Les Membres de Gajokai accueillent chaleureusement, protègent, aident et accompagnent ceux qui visitent le Centre. - Les Membres de Gajokai comme groupe de formation des personnes de valeur.